20 MERVEILLES DÉCOUVERTES PAR LES ARCHÉOLOGUES
20 merveilles découvertes par les archéologues
Bonsoir de ce Mardi je vous soiuhaite que cet Article vous plaira ainsi les Personnes oui non pas de blog je trouve que c est interraisant de lire ainsi les Photographie DANNNNN
Oubliez Indiana Jones : pas besoin d’un scénario pour mettre en scène les plus fantastiques découvertes archéologiques de l’histoire. Voici une vingtaine de trouvailles qui font toujours rêver, et qui attisent parfois encore un lot de théories extravagantes. À quand la prochaine découverte d’envergure?
Knossos, en Crète
Cet énorme palais datant de près de 2000 ans avant notre ère est découvert en 1900. Ses 1300 pièces, dont plusieurs ont les murs décorés de fresques colorées, en font une trouvaille absolument formidable, mais ce sont les milliers de tablettes d’argile, ordinaires à première vue, qui retiennent l’attention. Des inscriptions en langue jusqu'alors inconnue y sont gravées, et cela prendra 50 ans avant qu’on réussisse à lire ce qui sera alors la plus vieille langue européenne déchiffrée à ce jour.
La tombe de Toutankhamon, en Égypte
Il s’agit sans doute d’une des découvertes les plus spectaculaires – et les plus connues – de l’archéologie moderne. Voilà un pharaon dont le richissime tombeau aura davantage marqué l’imaginaire que son court règne (il n’aurait vécu que 18 ans). Les voleurs de tombes ont toujours été très actifs en Égypte, mais celle-ci aura passé inaperçue jusqu’en 1922. Sarcophage en or massif, chambre des trésors, pièces secrètes… de quoi faire rêver jusqu’à aujourd’hui.
Le site de Machu Picchu, au Pérou
Cette énorme citadelle est construite au XVe siècle sur un sommet en pleine jungle péruvienne et reflète bien toute la puissance de l’Empire inca, alors que plus d’un millier de personnes y vivent. L’arrivée du conquistador Pizarro et de ses armes modernes sonne rapidement le glas de cette civilisation sud-américaine, et le site tombe dans l’oubli. Ce n’est qu’en 1911 qu’Hiram Bingham III retrouve l’endroit qui émerveille des millions de touristes depuis… et qui en paie le prix de l’érosion précipitée.
Le bateau d’Oseberg, en Norvège
C’est en août 1903 qu’un fermier d’Oseberg, patelin situé à environ 70 kilomètres d’Oslo, présente au musée de l’université de l’endroit quelques morceaux de bois extirpés d’une butte de six mètres sur son terrain. Une visite subséquente des lieux se transforme éventuellement en découverte spectaculaire : il y a là un navire viking complet, excessivement bien préservé par le sol argileux, contenant quantité d’artéfacts. Avec ses 21 mètres de longueur et ses cinq mètres de largeur, le vaisseau construit vers l’an 820 se voulait un trésor à découvrir, avec ses riches ornements en bois sculptés. Les squelettes de deux femmes sont égalem
Le tombeau de l’empereur Qin Shi Huang, en Chine
Près de 8000 soldats, 130 chariots tirés par plus de 500 chevaux, et 150 autres destinés à la cavalerie, des acrobates, des musiciens, tout ça en terre cuite, de grandeur nature: voilà ce que contenait l’extraordinaire mausolée du premier empereur chinois, Quin Shi Huang (259 à 210 avant notre ère), trouvé par hasard par des fermiers locaux en 1974. L’endroit, qui a rapidement été inscrit dans la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO, est interdit aux visiteurs, mais les sculptures géantes peuvent être admirées ailleurs.
La pierre de Rosette, en Égypte
Les découvertes « par erreur » sont souvent les plus importantes, comme en fait foi celle du mausolée de l’empereur Qin Shi Huang. C’est également au hasard qu’on doit l’une des trouvailles les plus significatives pour l’étude des langues : la pierre de Rosette, retrouvée en 1799 par un groupe de soldats français dans la ville portuaire d’el-Rashid (Rosette), en Égypte. Ce qui fait sa particularité, c’est que le décret pharaonique qui y est inscrit, datant de 196 avant notre ère, contient le même texte en hiéroglyphes, en grec ancien et en égyptien démotique. Vingt-trois ans plus tard, l’égyptologue Jean-François Champollion parvient à déchiffrer la langue égyptienne, perçant un mystère qui gardait ses secrets jusqu’alors.
La ville mythique de Troie, en Grèce
L’Iliade d’Homère, écrite entre 850 et 750 avant notre ère, est un classique de la littérature grecque qui a fait rêver plus d’un lecteur. L’existence véritable d’une guerre entre Troie et les Achéens, telle que décrite ici, divise toujours les historiens, mais celle de la ville a également été mise en doute… jusqu’à la découverte de l’archéologue Heinrich Schliemann au début du XIXe siècle, sur le site de Hissarlik, en Turquie. S’agit-il bel et bien de la mythique ville? Ce qui est certain, c’est que pas moins de 13 cités furent construites au même endroit, l’une par-dessus l’autre, et qu’elles furent habitées entre 3000 ans avant notre ère jusqu’à il y a 1500 ans. Pour ce qui est du cheval, toutefois, ça reste sur le plan du mythe
La ville de Pompéi, en Italie
C’est un architecte du XVIe siècle, Domenico Fontana, qui redécouvrit cette ville italienne enterrée depuis l’an 79 de notre ère sous les débris volcaniques laissés par l’éruption spectaculaire du Vésuve, qui a rapidement englouti la cité et transformé ses habitants en statues. Pas moins de six à sept mètres de sédiments du volcan ont recouvert les lieux, protégeant l’endroit contre les intempéries et les pillages pour les siècles à venir. On peut aujourd’hui en admirer les vestiges et partager l’effroi des citadins d’alors, mortellement surpris.
Les manuscrits de la Mer morte, en Cisjordanie
C’est en cherchant une chèvre égarée près du site de Qumrân, en Cisjordanie, qu’un jeune berger découvre en 1947 un ensemble de sept rouleaux de parchemin datés entre le IIIe et le Iersiècle avant notre ère. Des centaines d’autres manuscrits seront éventuellement trouvés dans les caves avoisinantes. Leur contenu, des textes bibliques (Genèse, Exode, Deutéronome), ainsi que des psaumes, calendriers et hymnes religieux, en font les plus vieilles copies connues. Les textes sont principalement écrits en hébreu, en araméen et en grec.
La grotte d’Altamira, en Espagne
Si la grotte de Lascaux demeure la plus connue, la découverte de l’exceptionnelle grotte espagnole d’Altamira en 1879 – par un archéologue amateur et sa jeune fille – nous a permis de découvrir de fantastiques peintures murales datant de l’ère paléolithique, faites à l’aide de pigments naturels et de charbon. Chevaux, cerfs, bisons et aurochs (une espèce aujourd’hui malheureusement éteinte) ornent les murs de la grotte, sans oublier quelques mains bien humaines. Les premières analyses datent cet art préhistorique à environ 18 000 ans, mais de récentes études reculeraient leur création jusqu’à 35 600 ans! À cette époque, l’Humain commençait à se répandre dans le nord de l’Europe.
L’île de Pâques, au large du Chili
Qui n’a pas rêvé de se retrouver sur cette île aux têtes gigantesques, dont l’origine et les techniques pour déplacer ces mastodontes de plusieurs tonnes font encore l’objet de nombreuses théories. Celles-ci, au nombre de près de 1000 etréparties sur Rapa Nui (son nom véritable), ont été construites entre le XIeet le XVIIe siècle et peuvent mesurer jusqu’à neuf mètres de hauteur. Difficile de faire plus spectaculaire. Et d’être plus coupé du monde: l’île est située au large du Chili, à plus de 2000 kilomètres de l'endroit habité la plus proche. Elle fut visitée en 1722 par un navigateur néerlandais, Jakob Roggeveen, un certain jour de Pâques
Les géoglyphes de Nazca, au Pérou
Les lignes – ou géoglyphes– qui composent ces immenses dessins impossibles à voir du sol sont créées à partir de marques ou de rochers. Datant de 500 ans avant notre ère, elles n’ont jamais vraiment été « découvertes », car on peut les apercevoir avec un peu d’altitude et les habitants de ce plateau péruvien en connaissent l’existence depuis toujours. Toutefois, ce n’est qu’au cours des années 1940 qu’un historien américain, Paul Kosok, commença à les étudier sérieusement. Comment les « artistes » ont-ils réussi cet exploit, reproduisant non seulement des dessins parfois complexes, mais également des singes, des oiseaux, des lamas, etc., sur une superficie totale de près de 450 kilomètres carrés? Ces œuvres d’art magnifiques – détruites peu à peu par l’activité humaine – génèrent toujours des tentatives d’explications
Les caves souterraines du Yucatan, au Mexique
C’est en janvier 2018 qu’est faite une grande découverte dans les caves souterraines du Yucatan, au Mexique : deux des plus gros réseaux de l’endroit sont connectés, ce qui en fait le plus large réseau souterrain connu sur la planète. C’est, sans contredit, « le site archéologique submergé le plus important du monde », selon l’explorateur Guillermo de Anda. Et pour cause : on y a trouvé jusqu’à maintenant les squelettes de gomphothères, des éléphants antiques, et de paresseux géants datant de 15 000 ans, en plus de 120 sites d’artéfacts ayant parfois 12 000 ans. Un crâne humain recouvert de calcaire daterait d’environ 9000 ans. Et ça continue!
Le temple de Göbekli Tepe, en Turquie
S’agirait-il du tout premier temple de l’histoire humaine? C’est ce que croient certains archéologues et historiens, ce qui rend ce site à l’allure bien ordinaire absolument fantastique. Pour se remettre en contexte, il précéderait Stonehenge de 6000 ans et les pyramides de Khéops de 7500 ans. C’est sans aucun doute, avec ses 12 000 ans présumés d’âge, l’un des premiers centres urbains du monde. Examiné par des universitaires et anthropologues dans les années 1960, l’endroit fut rapidement classé comme vestige médiéval de peu d’intérêt avant qu’une nouvelle équipe ne s’y attarde en 1994, attestant du coup sa grande importance. À l’époque, le mammouth était encore au menu
Les gorges d’Olduvai, en Tanzanie
Ce serait la plus vieille preuve de l’évolution humaine, la consécration du Darwinisme, rien de moins. Voilà toute l’importance de ce site africain, où les paléontologues ont découvert des centaines d’os fossilisés et des outils en pierre. C’est clair : l’Humain est Africain. C’est au couple de paléontologues Louis et Mary Leakey que l’on doit les premières découvertes au cours des années 1930. L’instabilité politique au Kenya, voisin de la Tanzanie, aura retardé leurs recherches, mais ils revinrent dans les années 1950 et firent à ce moment leur plus grande trouvaille : des fragments de crânes provenant d’une espèce d’hominidés jusqu’alors inconnue, datant de 1,75 million d’années!
Le temple d’Angkor Vat, au Cambodge
L’une des plus anciennes mentions manuscrites de l’immense complexe de temples d’Angkor, construits en pierres, nous vient de Marcelo Ribandeyro, un Espagnol qui a « découvert » le site en explorant les jungles cambodgiennes. Ne sachant trop quoi en penser, il ne poussa pas l’analyse plus loin et l’endroit tomba dans l’oubli. Ce sont les notes de voyage d’Henri Mouhot, naturaliste et explorateur français, qui rappela à l’Occident l’existence de ce lieu aux allures mystiques au milieu du XIXe siècle. Ce temple spécifique, Angkor Vat ou « l’âme des Khmers », était à l’origine dédié à Vishnu avant de devenir un temple bouddhiste, au cours du XIIe siècle. Protégé par l’UNESCO, l’endroit est évidemment la destination touristique par excellence du pays.
Les portes de l’Enfer, en Turquie
La porte de Pluton, ou « portes de l’Enfer » pour ceux qui n’ont pas froid aux yeux, est un monument de pierres dédié au dieu éponyme, construit au IIe siècle avant notre ère à Hierapolis, en Turquie. Elle porte bien son nom en raison des gaz excessivement toxiques qui s’échappent de la cave sur laquelle la structure a été érigée. L’endroit, découvert en 1965, recelait toutefois une surprise dévoilée en 2012, alors qu’une équipe de chercheurs met la main sur deux statues de marbre absolument uniques dont l’utilité était d’en garder l’illustre entrée. L’une d’entre elles représente Cerbère, le célèbre chien à trois têtes, gardien des enfers, et l’autre un serpent, symbole infernal par excellence. Voilà qui vient confirmer le titre enviable – ou pas – de la porte de Pluton.
Le mécanisme d’Anticythère
Ce mécanisme datant de plus de 2000 ans, oublié puis retrouvé dans l’épave d’un navire au large de l’île grecque d’Anticythère au début du XXe siècle, est le tout premier ordinateur de l’histoire. Plaît-il? En fait, pour être plus exact, c’est la toute première calculatrice scientifique, avec ses dizaines de petites roues dentelées capables d’identifier avec une précision incroyable – nous sommes 100 ans avant notre ère – la position du soleil, de la lune et des planètes en y inscrivant la date. C’est une découverte d’ingénierie antique absolument remarquable. Anecdote amusante: il en existe une version en blocs LEGO.
La tombe de Richard III, en Angleterre
Que voilà une découverte spectaculaire qui a fait couler beaucoup d’encre et qui a attisé les passions, tant chez les historiens que chez les amoureux de l’œuvre de Shakespeare. La tombe de Richard III, roi d’Angleterre mort au combat en 1485 et « héros » de la pièce classique portant son nom, est enfin trouvée en 2012… sous le stationnement jouxtant l’église Greyfriars à Leicester. On est bien loin des fastes funéraires auxquels on se serait attendu. Trois ans plus tard, le célébrissime roi est enterré de nouveau, cette fois dans un tombeau de marbre dans la cathédrale de Leicester, près de l’autel.
Le mystérieux manuscrit de Voynich
S’agit-il d’une blague très élaborée ou non? Quoi qu’il en soit, ce codex de 234 pages (aux 13 folios manquants) à l’origine inconnue est acquis par l’antiquaire et bibliophile polonais Wilfrid Michael Voynich en 1912. Sur l’ensemble, 33 pages ne contiennent que du texte, le reste étant illustré de dessins et d’enluminures parfois grossières. Le bouquin serait âgé de 600 ans et proviendrait peut-être d’Europe centrale. Le hic, c’est que son écriture est totalement inintelligible, et il pourrait s’agir d’un des plus vieux coups montés de l’histoire, un mystère qui perdure depuis le Moyen Âge ou la Renaissance. Il s’agit peut-être d’un trésor indéchiffrable, qui sait?
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